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« Il est sûr que Zim est sûrement le plus grand artiste peintre du monde » c'est ce qu'aurait probablement affirmé Max Barsini s’il n’avait pas été un personnage de fiction.

Cette déclaration de Max Barsini nous pousse à revenir sur la carrière de Zim.

 

Né en 1983, Zim n'a eu de cesse de gribouiller, griffonner, crayonner et peinturlurer, c’est donc tout à fait normal qu’à 8 ans, lorsque sur le chemin de l’école Julien lui demande ce qu’il veut faire plus tard, Zim lui répond : « dessinateur de BD ! ».

 

En 1999, Zim porte des pantalons beaucoup trop large et écoute du reggae. C’est également cette année-là qu’il commence des études d’Arts Appliqués au lycée Saint-Joseph à Bressuire. Bien que cela ne lui plaise pas il décide tout de même d’aller jusqu’au bout  et  par la même occasion de continuer à porter des pantalons beaucoup trop large. Son baccalauréat en poche il prend la décision de se consacrer uniquement au dessin…

 

En 2003, Zim écoute de la musique électro et essaye d’apprendre la guitare tout seul. C’est également cette année-là qu’il intègre l’Académie des Beaux-Arts du Jardin des Délices à Bordeaux où il apprend la peinture, la gravure, le dessin, la linogravure, et à boire du café à n’importe quelle heure de la journée. La fermeture prématurée de l’établissement le laisse perplexe quant à son avenir mais soudain il se remémore ce qu’il avait répondu à Julien 12 ans plus tôt…

 

En 2004, Zim aime les films de Kung-fu et le jazz. C’est également cette année-là qu’il intègre l’École Pivaut à Nantes et suit une formation en bande dessinée et illustration. Après 4 ans de dur labeur et un Certificat de fin de scolarité il se dit que « finalement la bande dessinée ce n’est pas trop mon truc, je préfère peindre de la peinture… ».

 

En 2011, Zim ne porte plus de pantalons beaucoup trop large, a arrêté la guitare depuis qu’il a cassé une corde et ne bois du café qu’après les repas. Après avoir fait beaucoup de paysages, de nombreuses natures mortes, énormément de portraits et quelques expositions, c’est également cette année-là qu’il s’installe sur Bordeaux et depuis, et bien, il n'a eu de cesse de gribouiller, griffonner, crayonner et peinturlurer…